NOM DE FAMILLE :

Bang, comme le nom de mon connard de pere

PRÉNOM(S) :

Na Ri. Que voulait dire de plus

ÂGE :

18 balais même si j'en fait 16  

DATE ET LIEU DE NAISSANCE :

Le 24 mai à Séoul, korea

NATIONALITÉ :

Coréenne

ORIGINES :

Coréenne et japonaise

STATUT CIVIL :

Trop jeune pour ça

ORIENTATION SEXUELLE :

Je t'en pose des questions ?

TRAVAIL/ETUDES ? :

J'ai repris mes études cette année sinon je me fais des thunes a la sortie des cours en vendant de la blanche pas très légale

GROUPE DÉSIRÉ :

Les étudiants

Très émotive et réactive, Nari est souvent effrontée voire même insolente ce qui la rend parfois irritante. Néanmoins sa gaité est contagieuse. Nari observe, juge et aime particulièrement se mêler de tout. Un peu repliée sur elle-même, Nari est plutôt curieuse du monde extérieur. Elle est peu influençable ni amorale. Nari pense être au dessus des lois, des coutumes. En fait, Nari se fabrique sa propre morale, ses principes et valeurs. Nari pressent, devine ; ce n'est plus seulement de l'instinct ou de l'intuition. Nari charme, séduit, et s'il faut l'écouter, il faut aussi éviter qu'elle ne se prenne trop au sérieux et que son orgueil prenne le dessus. Toujours en opposition, notamment avec la société actuelle, avec ce qui est trop facilement accepté ou subit, Nari n'est nullement abattu par les échecs puisqu'elle considère qu'elle n'en est nullement responsable et qu'ils sont dûs aux autres. Très forte, peut être même trop forte, du coup Nari veut tout et tout de suite. Elle possède une très grande confiance en elle, puisque d'ailleurs elle ne croit qu'en elle. Une activité débordante, Nari a l'impression de pouvoir tout faire et est dévorante pour son entourage, ce qui équivaut à de tas de problèmes dans lesquels elle s'engouffre.

Sociable quand elle en a envie, Nari peut très bien accueillir quelqu'un qui lui 'plait' comme jeter les autres. Néanmoins si Nari accepte l'Autre, si l'Autre arrive à déjouer ses pièges, elle est alors une des plus fidèles amies. Capable de se débrouiller en toutes circonstances, Nari aime commander, qu'on lui obéisse, qu'on la suive ; et peut être très dur avec ceux qui n'arrivent pas à la suivre. Sa tyrannie s'exprime dans ces moments-là. Très possessive, elle aime ce qui lui appartient et veut posséder ce et ceux qu'elle aime. Nari veut qu'on l'aime. Il y a encore tellement de choses a savoir à son sujet. Mais laissons l'avenir vous le montrer

Pourtant, ces jours heureux ne me semblait pas si loin. Je revoyais encore ma mère qui était la soit-disante femme au foyer parfaite alors qu'elle se faisait sauter un gamin beaucoup trop jeune pour elle. Une femme opportuniste et égoïste à tous les étages. Dès que l'occasion s'est présentée, elle n'a pas hésité une seule seconde à foutre le camp de la maison. Quant à mon père... Oui un père qui était censé veiller sur nous... Il n'a pas su trouver refuge simplement dans les bouteilles. Un raté voilà ce qu'il était. Les jeux d'argent étaient devenus sa maîtresse, l'alcool sa femme. Mon père n'était plus apte à s'occuper de ma petite soeur et moi. Devenir adulte à 16 ans... Ce n'était pas ce don à quoi j'aspirais. Mais le bien-être de ma petite soeur était important pour moi. Des petits boulots par-ci, par là. L'acquisition de la réputation de la traînée pour la vente de certains sous-vêtements pour les pervers les plus avisés. J'enchaînais les petits boulots pour arrondir les fins de mois, car mon argent lui était utile pour tous ces paris débiles. Puis il a fallu que je quitte l'école pour m'occuper à temps complet de ma soeur. L'alcool coulait à flot dans le sang, les coups sur nos corps frêles aussi. Nous lui servons que de défouloir quand il était trop saoul. Soignée les plaies de ma jeune soeur étaient comme une sorte de révélation pour moi. On devait partir. Quitter cette maison, laisser seul notre géniteur à son sort.

Je me souviens de tous ces projets qu'elle rêvait sur notre future vie. Mais ce n'était que ça, un rêve. Je n'avais pas les moyens de lui offrir une maison aussi grande que la nôtre ou alors lui montrer la plage, cependant son sourire n'avait aucun prix. Si j'avais su que ce serait la dernière fois. La dernière fois pour ma soeur, la fois de trop de la part ce père irresponsable qui voulait nous empêcher de partir. Des objets qui volent, ta soeur transpercé de part en part

Des cris, des larmes du sang... Tout ça me revenait à la figure. Je compressais en vain la poitrine de ma jeune soeur qui me quittait peu à peu sous mes mains. Je la voyais mourir. Je la sentais mourir. Mes larmes, mes complaintes ne servaient pas à grand-chose. Quand est-ce que ma famille était devenue si imparfaite ? Nous étions pourtant ce cliché de ce tableau qui répondait au moeurs. Et me voilà recouverte de sang. Le mien, celui de ma soeur et probablement celui de mon père quand je l'ai violemment assommée. J'espérais qu'il était mort. Je ne pouvais plus rien faire de plus maintenant. Mes vêtements trempés de sang je me rendais chez une seule personne qui savait ce que je vivais quotidiennement. Je fus assommée par mon amie de questions à ma tenue de criminelle. La seule que j'ai su faire à ce moment a été de n'effondrer en larmes. C'était la dernière fois que j'ai osé pleurer devant quelqu'un

Avec le décès de ma jeune soeur, j'ai eu l'impression que quelque chose en moi était mort. Je savais que je devais avancer et écrire une nouvelle histoire de ma vie. Puis j'ai découvert l'addition des Hommes qui pouvaient être source d'argent. Le sexe, un aphrodisiaque qui mettait a genoux plus d'un mâle en manque, les esprits les plus tordus trouvaient leur compte avec mon visage d'enfant et mon corps de femme. Mais jouer catin, ça ne me disais pas tant ça. Puis il y a mon gagne pains actuel : la drogue. Cette poudre blanche que les gens pouvaient sniffer comme l'air qu'il respirait. Tu pouvais facilement oublier tes soucis avec ces petites pilules. Je trouvais ça fascinant. Et voir ce que tu pouvais te faire plus d'argent qu'en offrant ton cul. Tu t'es mis à étudier les composante de cette poudreuse. C'était jouer les petites chimiste et je me rendais comptes que je pouvais moi-même produire la même substance. Peut-être en moins puissant mais c'était toujours ça. Mais la vendre était autre chose. C'est à ce moment que j'ai compris avoir son propre territoire. J'avais le choix entre me faire buter ou alors rejoindre le groupe. Il faut dire que le choix était vite fait. Je quittais la maison de mon amie sans lui donner d'explication. Je ne savais pas quel genre de problème je pourrais l'entraîner et je ne voulais pas prendre le risque. J'ai très vite compris que l'innocence que je possédais leurs était très utile. Qui pourrait croire que l'adorable petite fille que j'étais pourrait vendre de la drogue. Mais il fallait dire que je jouais indirectement les putes. J'amassais l'argent pour un maigre bénéfice et je le donnais à des mecs qui ne suait pas. Je connaissais les ficelles des métiers, alors pourquoi ne pas rouler en solo désormais et faire mon propre argent. Et voir combien mes camarades étaient prêts à payer pour planer ne serait-ce quelques heures m'amusaient. Cependant, je ne pensais pas que ça me serait aussi difficile de quitter un gang. A peine 18 ans et ma tête mise a prix

PSEUDO :

Call me Laady or Heerin

ÂGE :

21 ans, dans 5 mois XDD

Depuis combien de temps tu RP ? :

depuis que je sais marcher Srsly depuis 6 ans

UN PETIT TRUC À NOUS DIRE ? :

JE VOUS AIME TOUS !!!!   excepté toi Daeho Mais quand même un petit peu pour m'avoir accordé un dc XDD

Code:

— <div class="GR">Kim Ji Yeon - Bona [WJSN/Cosmic Girls]</div> → Bang Na Ri