Messages : 510 Date d'inscription : 05/06/2016 Age : 32 Situation : bisexuel ; célibataire endurci. éternel insatisfait.
Choi Yun Seong | Sujet: Choi Yun Seong ft Park Chan Yeol Dim 5 Juin - 0:30 | |
| Choi Yun Seong « heart attack » NOM DE FAMILLE : Choi. PRÉNOM(S) : Yun Seong. ÂGE : 25 soon. DATE ET LIEU DE NAISSANCE : somewhere in korea. maybe seoul. 27/11/1991 NATIONALITÉ : coréenne. ORIGINES : coréennes i guess. STATUT CIVIL : célibataire endurci. éternel insatisfait. ORIENTATION SEXUELLE : bisexuelle. TRAVAIL : surveillant de nuit dans une université. apprenti tatoueur dans un salon le lundi et mercredi après-midi. GROUPE DÉSIRÉ : séoulite.
Mon caractère de merde À L'ÉCOUTE DES AUTRES + il pourrait passer des nuits entières à écouter des élèves se plaindre de leur vie, sans rien dire, sans jamais juger. Juste parce qu'il est ainsi, pas spécialement gentil, mais c'est une bonne oreille. Généralement, il donne de l'attention aux somnambules, qui, une fois, réveillés, racontent leurs cauchemars ou ce qui les a rendu ainsi.
AUTORITAIRE + il en faut bien un peu après la vie qu'il a eu. Il ne mâche pas ses mots si on le gonfle, il donne des ordres si besoin est, et il sait ce qu'il veut. Se faire virer ? Il n'a pas peur s'il sait qu'il n'est pas en tord et qu'il faut remettre les pendules à l'heure d'un de ses supérieurs. Peut-être un peu trop direct et blessant parfois, il y a tout de même quelques personnes qui aiment ce côté chez lui. Au moins, on ne se heurte pas à une personne superficielle.
BAGARREUR + même s'il s'est calmé de ce côté-là, qu'on peut dire qu'il s'est rangé, si des abrutis essaient de faire les malins, il appréciera fortement de les corriger. Il a horreur du manque de respect, et il pourrait devenir violent si jamais on lui parlait de son tuteur. Si ce gentil homme est mort, c'est de sa faute, et il ne parvient pas à se le pardonner.
CURIEUX + dans le bon sens du terme. Il aime apprendre de nouvelles choses, s'intéresser à la cuisine, et notamment le dessin, puisqu'il travaille avec un tatoueur. Il s'essaie aussi au sport, même si son alimentation n'est pas réellement saine. Il mange de tout, il peut manger durant une journée entière sans vraiment grossir, et s'il prend un kilo, lui, il est content. Parce que ça fait de la matière à transformer en muscles.
FROID + non, ce n'est pas un air qu'il se donne. Il a du mal à rire franchement, à se confier aux autres ou même à les approcher. Ça paraît difficile à croire étant donné qu'on le voit toujours en compagnie de quelqu'un, mais il semblerait qu'il attire les gens de par son charisme. Il aimerait bien avoir la paix, lui, il ne demande que ça finalement.
DÉBROUILLARD + pas de jetons pour débloquer un caddie ? Pas grave, il a la clé de son appartement dans sa poche. Coup de chance, ça passe nickel dans le truc. À chaque problème, sa solution. Il ne cherche pas bien loin, la réponse est là sous ses yeux, il le sait. Il est capable de tout faire avec un rien, et ça, c'est vraiment pratique.
MÉFIANT + envers tout et tout le monde. Il est en fait, plus réticent par rapport au mal qu'il pourrait faire aux autres, et du coup, il garde cette distance émotionnelle, et parfois physique avec les gens. On le trouve sans doute bizarre ou hautain, mais il n'en est rien. Pour lui, quiconque se lie avec lui, va l'abandonner ou mourir.
OUVERT D'ESPRIT + bien peu de choses l'étonnent. Des filles ensemble, des garçons en couple, des orgies, des boîtes gay, etc, il s'en fiche. C'est la vie. Il n'est pas là pour changer les politiques, les mentalités ou les goûts des gens. D'ailleurs, il est lui-même bisexuel à ses heures perdues alors bon …
SOLITAIRE + certainement autant que son chat. Il aime la tranquillité, le calme, glander devant la télé avec sa petite table remplie de trucs à bouffer. Parce que c'est aussi ça, la vie. Profiter de sérénité, avant de retourner dans la dure réalité. Être seul ne le dérange pas le moins du monde, il a appris à vivre de cette façon depuis la mort de son tuteur, et il ne s'en porte pas plus mal. Ma petite histoire Si les prénoms avaient une quelconque signification ou valeur sentimentale pour les parents, Yun Seong ne saurait jamais pourquoi il portait cette identité sur ses papiers. Il ne se souvenait pas de grand chose lors de son enfance, à part que ce n'était pas forcément joyeux, ni même simple à raconter. Il n'avait que des flashs, et encore, il préférait aujourd'hui les oublier, ou penser que ce n'était que d'horribles cauchemars qui hantaient sa vie. Avoir ne serait-ce que des images indistinctes d'être battu ne le laissait pas indifférent.
Il dirait ensuite que la vie qu'il a maintenant est un choix et non une obligation. Ce fut lui-même qui décida de fréquenter telles ou telles personnes, son cerveau qui lui intima de porter pour la première fois de sa vie à dix-sept ans une clope à sa bouche. Il ne décrocha plus jamais. Il ne savait pas pourquoi il avait commencé, et pourquoi il n'avait plus arrêté. Une habitude certainement. Après une, deux, trois fois, il ne se rendait même plus compte que le goût était sale et toxique.
Pendant plusieurs années, il se balada de foyers en foyers, sans vraiment y trouver sa place ; il tombait sur des familles déjà pauvres, mais qui manquaient d'affection. Il fut recueilli par une maison, un jour, qui avait besoin de combler le manque de leur fils décédé. Il fut vraiment désolé pour eux de ne pas être la copie conforme du défunt, mais il s'en échappa sans demander son reste. Ou plutôt, on le rendit à l'orphelinat d'où il venait. Il était certain d'être né à Séoul, ou du moins en Corée, parce que vu les yeux bridés qu'il avait et ses traits si particuliers aux coréens, il ne pouvait en douter. Il était né dans un hôpital, le vint-sept novembre mille neuf cent quatre-vingt-onze. Il n'en savait pas plus, ses parents s'étaient comme volatilisés comme par magie sans laisser de traces.
Lorsqu'il y pensait parfois, lorsque son regard se portait sur des étudiants de la fac, lorsqu'il observait ces familles heureuses avec ce gamin qui courait dans tous les sens pour rendre fous les adultes, il les enviait. D'une façon pure et simple, parce qu'il n'avait jamais connu tout ça. Son cœur était lourd de reproches et de rancune envers ces personnes qui l'avaient laissé tomber, oubliant en même temps leurs responsabilités, sans prendre en compte le petit être qui allait vivre sans amour.
Malgré ces difficultés à se poser dans un environnement sain, une famille ni recomposée, ni en deuil, il fut élevé par cet homme, vivant seul, ayant juste besoin de compagnie. Cet adulte avait assez d'argent pour avoir un grand appartement, avec un salon assez spacieux et deux chambres, pour nourrir ses trois chats, lui et un gosse paumé jusqu'au bout des ongles. Lorsque le gamin aux cheveux abîmés et au teint blanc comme un linge connut cet homme, celui-là était en forme, avait la santé et vivait proprement. Yun Seong avait dix-neuf ans à cette époque. Il laissa de côté ses anciennes fréquentations, pour essayer de se construire un minimum. Fini les bagarres, les côtes cassées et le visage gonflé, sa respiration se faisait plus calme la nuit, et il parvenait à dormir quatre heures sans cauchemars.
Bien trop rapidement, cependant, les choses se dégradèrent. Yun Seong voyait son tuteur maigrir, devenir livide, rester au lit des journées durant et cracher du sang dans ses draps, sans prendre la peine de les changer. Ce fut le gosse qui se chargea des rendez-vous médicaux, d'emmener le monsieur et de l'aider à vivre correctement ses derniers instants. La veille de ses vingt-et-un, son portable vibra dans sa poche alors qu'il regardait la télé. Il ferma les yeux avant d'écouter la voix qui en sortait.
Ce jour-là, au crématorium, seulement quatre êtres vivants étaient présents ; Yun Seong et les trois chats du défunt, qui étrangement, étaient bien silencieux. Serrant les poings au point de faire blanchir ses phalanges et saigner ses paumes, il ne versa pas une larme. Il resta de marbre, alors qu'il regardait les flammes emporter le corps sans vie de son tuteur. Son cœur se ferma, comme une coquille qui renfermait encore quelque chose de précieux. Il savait que quiconque entrait dans sa vie le fuyait, l'abandonnait ou mourait, et il reprit la vie solitaire de son tuteur. Sur les papiers, et au plus grand étonnement de Yun Seong, le monsieur lui avait tout laissé ; son appartement, son argent, ses chats, tout. Parfois il se souvenait encore des disputes qu'ils avaient tous les deux lorsque Yun Seong rentrait avec des bleus, lorsque son tuteur le grondait et le menaçait de le jeter dehors. Bien que cela ne dura pas longtemps, parce que le gamin avait pris une décision, il chérissait au plus profond de lui ces moments rares de sa vie. Parce qu'il comprit, bien trop tard, qu'on s'inquiétait pour lui.
Tous les vingt-six novembre, il était dans ce grand couloir blanc, aux nombreuses cases vitrées, et soigneusement nettoyées. Il priait, il racontait silencieusement le déroulement de sa vie. Il en oublia de fêter son anniversaire. Comment se réjouir de prendre un an de plus alors que la veille, il devait se rappeler du « comment il en était arrivé là ». Il n'avait plus réellement d'entourage, le peu de personnes qui semblait s'attacher à lui, il les mettait à l'écart, parce que sa vie était bien trop compliquée pour que les autres comprennent. Il n'était après tout qu'un humain qui voulait être compris. Comme nous autres.
Il garda l'appartement, trop précieux pour le vendre ou s'imaginer quelqu'un d'autre vivre dedans, la chambre de son tuteur resta propre, mais inchangée. Il refusait de dormir à l'intérieur, et la porte était fermée à clé, sauf lorsqu'il y faisait le ménage. En trois ans, il ne lui restait plus qu'un chat pour lui tenir compagnie, mais il avait le projet d'en recueillir de nouveaux assez vite, parce que mine de rien, ces petites bêtes étaient importantes pour lui. Cela comblait le vide de l'appartement, et le silence des pièces.
Il entreprit aussi de se trouver un job, mais cela ne fut pas choses aisée. Avec un parcourt comme le sien, sans diplômes, ayant arrêté ses études avant la fin du lycée à cause de ses nombreux voyages familiaux, si on peut dire, il n'avait pas eu la réelle motivation de se concentrer dessus. Il n'avait ni passions, ni centres d'intérêt au départ, mais afin de se vider la tête, il essaya plein de trucs. Son réconfort, il le trouva dans les instruments. Bien sûr, au départ, ce fut le plus pratique, comme la guitare, mais il voulait aussi se trouver un synthé pour s'y frotter. Il gardait cette idée bien au chaud, il savait qu'il ne l'oublierait pas. Parce que lorsque Yun Seong avait un projet en tête, il ne l'avait pas ailleurs.
Il travailla dans des épiceries, des boutiques de souvenirs … En somme des emplois bien peu intéressants, mais il ne se relâchait pas, il essayait plusieurs métiers, afin de se découvrir une voie qu'il allait aimer jusqu'à la fin de sa vie. Et peut-être qu'un jour, qui sait, il aurait la réelle motivation de refaire des études pour partir loin. Ce fut dans cette période qu'il prit la décision de se heurter au monde de l'éducation, après tout, il ne pouvait pas être prof ou élèves, mais pourquoi pas cuisinier, ou … Il n'en savait trop rien en fait. Il envoya simplement les documents nécessaires pour postuler à un quelconque poste. Malheureusement, il n'eut aucune réponse. Sur les dizaines de courriers envoyés, aucun établissement n'avait daigné lui balancer un oui ou un non.
Durant plusieurs mois, il bossa aux côtés d'un type cool, qui avait ouvert un salon de tatouages et piercings. En vérité, l'univers un peu décalé des gens et des employés lui avait plu, et ce fut pour cette raison qu'il ne les quitta pas depuis lors. Il apprenait sur le tas, avec son boss, qui lui donnait des conseils, qui l'initiait à utiliser les aiguilles. Peu avant la rentrée universitaire de 2015, il reçut un coup de fil d'une fac qui cherchait un surveillant de nuit. Pas de quoi fouetter un chat, mais par simple curiosité, il se rendit à l'entretien. Il avait besoin d'un boulot stable, et d'un éventuel deuxième salaire afin de vivre et pouvoir apporter du confort à son petit chat adoré.
Voilà comment il s'est fait embauché dans une grande université, remplie de jeunes de son âge (plus ou moins) et qu'il s'y est adapté. Il a appris à gérer les somnambules, les échanges de chambres filles/garçons, il bosse quelques fois avec son boss tatoueur afin de l'aider et avoir un peu d'argent en plus pour se faire plaisir (ou mettre de côté pour de futurs projets) et il trouve aussi le temps de dormir. … Parfois. PSEUDO : goyangi. ÂGE : 21 soon. Depuis combien de temps tu RP ? : 7 ans. UN PETIT TRUC À NOUS DIRE ? : bientôt du CHANBAEK. bientôt LUCKY ONE. bientôt MONSTER. soyez heureux. - Code:
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Messages : 510 Date d'inscription : 05/06/2016 Age : 32 Situation : bisexuel ; célibataire endurci. éternel insatisfait.
Choi Yun Seong | Sujet: Re: Choi Yun Seong ft Park Chan Yeol Dim 5 Juin - 11:31 | |
| SHAWN + merci pour l'accueil, même si je ne suis pas fan du surnom "cassoulet", ça fait très ... très voilà quoi DAE HO + pour le moment aucune question. du cassoulet, je passe au poisson, ce n'est pas top mais c'est déjà un peu mieux. vous êtes fan des trucs gluants ou ... ? SOO KYUNG + vas-y touche, c'est gratuit pour l'instant merci pour l'accueil ! KI HYUN + wah ça fait belles lurettes que je n'ai pas vu sa tête sur les forums à Kim Beom ! ça fait du bien de voir des "vieux" quand même. limite, on les voit tellement jamais, qu'on dirait qu'ils sont dépassés ship le chanbaek, ce sera toujours gratuit ça par contre SUNG YOUNG + moui, si on le met dans l'autre sens, t'as raison dis donc tu tourne à la provocation à te montrer à moitié à poil et tout, attends j'te fais une place MIN YEON + j'ai jamais essayé pour tout avouer, mais je devrais faire l'expérience avec toi à mes côtés pour m'inspirer, ne sait-on jamais si ça fonctionne TAEK HYEON + oh des yeux étranges ! c'est pas mal comme idée tiens c'est mon ub chanyeol, alors voilà, si tu veux toucher un peu, je suis ok, mais pas trop hein ? MERCI A TOUS POUR L'ACCUEIL, JE VAIS FINIR TODAY |
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